“Chez LUCCA, les salariés choisissent leur salaire”

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Cours Florent, Menuiserie, Création et revente d'entreprises, stage de clown... 

Charles de Fréminville est l'incarnation même de la polyvalence :

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Recruté d'abord comme chez LUCCA après la revente de son SaaS, Charles a immédiatement trouvé sa place au sein de cette entreprise créatrice de logiciels RH. Deux ans plus tard, il est devenu DRH : “Je me suis dit, l’humain ça m’intéresse,” partage Charles, aujourd'hui DRH chez LUCCA.

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Réputé pour sa curiosité et sa soif d'apprendre, Charles ne cache pas que cette qualité est un atout majeur dans son métier actuel : "Quand on est DRH, il est important d’être curieux de l’autre." Sur le ton de l’humour, il cite Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne : “Il n’y a pas forcément besoin de savoir jouer du violon pour être un bon chef d’orchestre.” Par là, Charles explique qu'un DRH atypique et autodidacte, comme lui, peut apporter une perspective différente sur les collaborateurs : “Ne pas être un pur DRH permet de ne pas avoir l'obsession de la perfection technique et d’avoir un œil touche-à-tout.”

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Cela fait un an que Charles occupe le poste de DRH chez LUCCA, et pourtant, on a l'impression qu'il y est depuis une décennie. “Il y a eu un véritable match avec LUCCA,” exprime-t-il. Un match évident, au vu de ses réponses élogieuses sur l’entreprise. Entre transparence salariale, choix du salaire selon les collaborateurs, très peu de turnover, entraide et solidarité, Charles semble avoir trouvé la perle rare qui lui convient parfaitement.

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Lorsque Boris lui pose la traditionnelle question “Quelle serait pour toi l’entreprise de rêve ?”, Charles répond sans hésiter que LUCCA n'en est pas loin.

Mais qu'est-ce que Lucca a de si exceptionnel ?

La réponse est dans l'épisode… alors bonne écoute !

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